
Rivière & néant.
Il y avait cette rivière ; une eau endeuillée, une tempête unifiée, un torrent éphémère.
Il y avait ce sentiment ; une opinion horrible, une intuition plausible, un avis ralentissant.
Il y avait le néant ; une faiblesse puriste, une misère simpliste, un rien permanent.
Il n’y avait plus de moi ; une créature inexistante, une personnalité attristante, un mortel en désarroi.
Il y avait une rivière qui coulait, ce n’était pas juste de l’eau, c’étaient ses dernières gouttes. Ses dernières perles, noires de Tahiti, ses dernières gouttelettes, obscures de ses envies.
C’étaient ses dernières eaux de vie, en mouvement pour un air de mort.

Bon jour,
A la voix, la ligne s’écrit à la verticale d’un seul mot et l’on croit jusqu’à la mise en terre pour … fleuraison …
Max-Louis
Bonjour, Merci une nouvelle fois pour vos inspirations.
M.Wolgan
Plaisir de poser quelques modestes mots …
Tes mots me touchent beaucoup, et me font m’interroger aussi… Ton blog m’intrigue, je m’abonne!
Omfg, merci beaucoup pour tes mots a toi, merci pour l’encouragement.